Cette interview de Pierre Cassen, le fondateur de Riposte laïque, me semble une pièce importante à apporter au débat qui agite les politiques autour des « Assises internationale de l’islamisation de nos pays » qui se tiendront demain à Paris à l’espace Charenton et qu’un certain nombre de partis et d’organisations de gauche ainsi que le maire de Paris, Bertrand Delanoë ont tenté de faire interdire.
Lectures :9459Ceux qui pensent au passé simple se préparent un futur compliqué.= = = = Vous êtes les bienvenus au JARDIN du dessous = = = = =
Encore faudrait-il être en mesure de démontrer que cette présentation des médias est le fait des identitaires en question.
Il n’y a pas d’insulte dans les propos de Colre, la dépêche de France-info disait exactement cela, c’est tout.
Pas moyen de mettre mon post où il faut, ça bugge
Non, Léon: insinuer que ça ne me choque pas et que je parle « à l’unisson des dépêches de France Info » n’est pas acceptable pour moi: rien dans mes propos ne peut laisser supposer ça, qui est totalement calomniateur.
Faut-il se voiler la face pour plaire ? Fallait-il ne pas parler des réactions de la presse et se congratuler du succès médiatique de l’opération ?
J’ignore si cette présentation des médias est le fait des identitaires en question mais le résultat est là, hélas, et c’est tout ce qui compte.
Le traitement médiatique qui gomme toute aspérité concernant l’islam en France se veut « responsable » pour éviter de faire monter une mayonnaise que tout le monde peut craindre.
Ce faisant les médias agissent comme un barrage dont on a fermé toutes les vannes.
Le niveau de l’eau monte et quand il faudra lâcher, ce sera tout d’un coup, sous l’obligation impérieuse des éléments et pour éviter la rupture de l’ouvrage.
Cela risque d’être trop tard et un jour il faudra soudainement ouvrir les vannes à fond, la parole se libérera faisant apparaître certains, la plus-part de ceux qui se taisent, comme des girouettes et des faux-culs.
Ils savaient mais ils n’ont rien dit…
à hks
Ce que je vois c’est une population maltraitée économiquement, parquée dans les » barres « , une population qui traverse les quartiers de français de souche mieux logés et mieux lotis financièrement .
Un tantinet carricatural !
figurez-vous que j’en suis partie de ma banlieue (et 2 fois 1) 77 2) 94) car c’était devenu invivable surtout pour les femmes vivant librement. Et je ne pense pas être la seule.
Faites un petit tour de France, vous y rencontrerez une population maltraitée économiquement dans le milieu rural par exemple, et dans les petites villes où il n’y a pas de barres d’immeuble.