Les Voyageurs
En fait de tout le patrimoine antique c’est un groupe humain sans grande considération_ Les Voyageurs _ qui servit d’archive vivante à tous ces mythes et légendes.
L’importance du legs , son enrichissement et sa transmission nourrirent le goût jamais assouvi pour les récits de Voyages.
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Ces derniers firent l’objet d’un commerce aussi florissant que les denrées précieuses transportées par les caravanes. Ils portaient un nom = les MIRABILIA ( livre de merveilles) . Depuis leur apparition aux temps antiques il étaient vendus, compilés, pillés , traduits , trahis …. Un bout de l’une ajouté à un bout de l’autre. Des faits et des lieux réels impliqués dans une légende venue d’on ne sait plus où. Qu’importe les fariboles ! Plus l’invention étaient énorme plus elle avait du succès et plus on ne manquait pas de la retrouver dans un autre récit narrant un tout autre voyage à une tout autre époque…Mais l’étrange , le fantastique , l’horrible et le merveilleux comme un motif pictural accrocheur boostant la vente, l’auteur pillard ne pouvait s’en priver… Parfois de simples recueils de conseils pratiques aux voyageurs agrémentés ou non de glossaires , parfois une accumulation de prodiges fantastiques. Tout se vendait, et tous écoutaient avidement.
Les routes imaginaires vinrent doubler les itinéraires réels .
Les voyageurs font étape la nuit , à la Tour de Pierre ou à la Porte de Jade voire dans les défilés des Portes de Fer entre Samarkand et Bactres . On en profite pour changer d’animal de bât et recevoir les consignes du nouveau capitaine de caravane. Ce dernier , désigné par le potentat local est à lui seul une garantie de sécurité . On paie pour passer mais on est protégé. De potentat en chef local , on va de taxe en taxe jusqu’à la protection militaire du Fils du ciel qui contrôle et surveille tout . Plus ou moins bien installés à l’heure du repos, les voyageurs sont friands de contes qui affolent ou rassurent. Au voyage d’après il rajouteront leur variante à l’histoire. Une légende tombe ici dans l’oubli mais c’est pour reparaître là bas mille ans plus tard. Ainsi, il y a une archéologie des légendes. C’est une science d’en retrouver le parcours, la stratification et en supposer l’origine.
C’est ainsi que l’Islam accapare l’héritage greco-romain pour le catapulter de Gibraltar à Canton . Des milliers d’ouvrages puisant dans des milliers d’histoires orales. Le plus célèbre de tous les temps demeure sans conteste le Roman d’Alexandre. On peut trouver encore aujourd’hui des petits malins qui savent très bien employer les ruses et les trouvailles de l’auteur , lui même le plus grand des faussaires imposteurs. Il prétendait être un certain Callisthène. Plus la ficelle est grosse mieux elle fonctionne. Utiliser au IIIè siècle après le nom d’un compagnon d’Alexandre de la fin du IVè siècle avant…Il fallait oser , il osa.
Extrait Wikipédia
Son œuvre, intitulée Roman d’Alexandre, sensiblement fabulatrice, ne suit que de très loin l’histoire du conquérant macédonien mais elle contient presque tous les épisodes que l’on retrouve chez la plupart des historiens grecs et romains ayant entrepris ce récit, entre -200 et 300. De cette version du Pseudo-Callisthène dérivent la plupart des Légendes, Vies, Romans, Histoires ou Exploits d’Alexandre le Grand qui se multiplieront, à partir du Ve siècle1. L’appellation Roman d’Alexandre date du Moyen Âge. On regroupe sous ce titre toutes les versions issues du texte grec d’origine. On distingue parmi elles deux traditions :
- Une branche orientale représentée par
- une version arménienne du (Ve siècle)
- Une version syriaque, vers l’an 500, par Jacques de Saroug
- Une version éthiopienne (IXe siècle)
- Une version byzantine (XIIIe siècle)
- Puis une version turque et une version persane
- Une branche occidentale dont le développement n’est pas moindre
- Une versions en latin de Julius Valerius Alexander Polemius, Res gestae Alexandri Macedonis (début du IVe siècle)
- Une versions en latin de Leo Archipresbyter, Historia de preliis Alexandri Macedonis (Xe siècle)
- Des versions en langue vulgaire, en France, Allemagne, Espagne, Italie…
C’est au XIIè siècle qu’est diffusée en France une adaptation en langue romane d’une des versions latines de ce récit. C’est d’une de ces versions, attribuée à Alexandre de Bernay et écrite en vers de douze syllabes que vient le nom d’alexandrin.
Selon une hypothèse qui ne fait pas l’unanimité parmi les théologiens musulmans , le Coran dans la Sourate XVIII (La caverne), reprendrait le récit du voyage d’Alexandre, dénommé Dhû-l-Qarnayn (le Bicornu), au pays où le soleil se lève et la construction du « mur d’airain » destiné à contenir les assauts de Gog et Magog7.
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On retrouve des éléments du Roman d’Alexandre jusque dans Marco Polo ce qui interroge sur les scrupules du Vénitien. Mais les fausses merveilles sont tellement belles aux oreilles ( lecture à voix haute) de ceux qui en sont avides. Le fameux prêtre Jean que l’on vit partout du Sud en Ethiopie , au Nord chez les Mongols dont on espérait se faire des alliés. On le situait aussi au Nord par delà les Scythes cruels . Ce fameux prêtre a-t-il dû son succès à autre chose que la mauvaise prononciation d’un interprète du nom d’un prince Mongol ONG-KHAN ? Les Tatares, à qui ont prêtait tous les vices et toutes les cruautés, ne devraient-ils pas la crainte qu’ils inspiraient à l’homophonie : Tartare fleuve des enfers. On sait que Colomb en entendant les indigènes se nommer eux mêmes « canniba » comprit « il gran Can » Quand on veut entendre, quand on veut voir, ……on croit l’un et l’autre. On croit même de préférence les menteurs.
Jean de Mandeville : La représentation de l’espace. De Jean de Mandeville à la carte de l’état-major page 2 du PDF ( page 200 du document) Un fameux menteur ne se privait pas de traiter Polo de menteur lui même. Une concurrence citoyenne sans doute.
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Les Terres Creuses
La terre creuse …La terre creuse ……. ????
Ah oui ….. la Terre creuse ….c’est le sujet!
Depuis les temps les plus reculés , en fait depuis celui où nous avons pu retrouver ses traces, l’homme a une relation mystérieuse et lourde de signification avec le dessous, le dedans, le caché. (Amon le caché) Nous le savons maintenant Néandertal inhumait ses défunts. Il ne les abandonnait pas , ne les jetait pas tout simplement dans un trou. Il les plaçait selon un rite et décorait leur tombe selon un comportement et des attentions accédant à une authentique vénération de l’ancêtre et de la Terre à qui on le confiait. En dire plus outrepasserait ce que nous en dit la science. Mais quelques dizaines de milliers d’années plus tard c’est encore au fond de la Terre des grottes de Chauvet Rouffignac ou Lascaux que Cromagnon confiait ses songes et ses espérances de Troupeaux jaillissant de la Terre féconde et nourricière. Et….
Et tout en haut d’une butte du Sud-Est de l’Anatolie un/des peuples creusèrent un vaste creux pour y planter les monolithes de Göbeckli Tepe . Et quelques siècles plus tard d’autres peuples sans rien abîmer engloutirent ces mêmes monolithes sous des tonnes de terre . Vinrent les siècles des statuettes de Déesses Mères gravides enterrées dans le sous sol des premières maisons des premiers établissements permanents…Le temps des monolithes gigantesque gravés , plantés dans le sol, en communication avec le monde d’en Bas
Combien de siècles et de millénaires durèrent ces liens entre le monde d’en bas et les humains d’en haut. Combien de temps le culte rendu aux ancêtres pacifia les relations de l’un à l’autre. Le temps des religions salutistes , des Paradis et des enfers n’est après tout qu’un ridicule clignement d’yeux dans cette « éternité » Un ridicule intermède.
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De ces cultes , de ces craintes , de ces vénérations il est resté des traces.
Commençons par Magog . Pourquoi pas ? La chronologie n’a plus grand chose à prétendre en cette affaire.
On rencontre l’Histoire de Magog de Gog et Magog dans l’Apocalypse XX,7& 8 dans Ezechiel et même chez le Judeo Romain Flavius Josephe reprenant sans doute l’Apocacalypse
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Magog désigne soit une personne , soit un peuple, un groupe de peuple ou une entité géographique située au « Nord du Monde » où se concentrent les forces du Mal. Le Nord est le centre de toutes les terreurs. Là habitent les terribles Scythes le fléau des fléaux. C’est ici qu’il faut indiquer que les géographes du Monde Antique situent l’Asie centrale au Nord du Monde…
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Et l’Asie centrale est ___ on nous cache tout ___ au centre de l’Asie , il n’y a pas à discuter. Et là caché sous la Terre …
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Le Coran reprend la même histoire
Dans la sourate 18 versets 92 à 99 Ḏūl-Qarnayn La Caverne
« ……..entre les Deux Barrières (montagnes), il trouva derrière elles une peuplade qui ne comprenait
presque aucun langage. »
« Apportez-moi des blocs de fer». Puis, lorsqu’il en eut comblé l’espace entre les deux montagnes, il dit: «Soufflez!» Puis, lorsqu’il l’eut rendu une fournaise, il dit: «Apportez-moi du cuivre fondu, que je le déverse dessus».
Ce qui ressemble pas mal aux tribulation d’Alexandre au Nord de Samarkande quand il renonce à s’enfoncer plus avant dans les vallées et
fonde sa cité au débouché du Ferghana et qu’il revient finalement sur ses pas se lance dans la conquête de l’Inde.
Magog. Il est donc fort probable que ce récit reprenne un passage de la vie d’Alexandre du Pseudo-Callisthène, D’autant qu’au plan géographique tout cela ressemble furieusement à la vallée du Wakhsh, Paratacene, Kyzylsu coincée entre les chaines de l’Alaï et du Trans-Alaï. Exactement là où les voyageurs , archéologues agents de renseignement britannique ont vu les vestige de la Tour de Pierre d’Alexandre.
Terre creuse et Terre concave
Nous avons vu plus haut que Le roman d’Alexandre trouve des continuateurs en France qui le transforment en romans chevaleresques et le raccrochent à la dynastie Capétienne par des adjonctions ad-hoc .Mais nous ne sommes pas au bout de nos étonnements . Un chercheur imprudent se perdrait dans une accumulation de thèses soutenant l’existence d’une terre creuse.
Il ne faut surtout pas croire que les fariboles ésotériques se soient éteintes avec les antiques mages et gourous qui les professaient . L’esprit scientifique des Lumières est loin d’avoir tout balayé. Le XIXè siècle est celui des tables tournantes , du spiritisme, de la théosophie et des « vraies » apparitions de fantômes. ( Victor Hugo)
La technique moderne qui fait baisser le coût du papier, celle de la reproduction photographique et sonore fournissent des supports aux possibilités infinies dans les mains des imposteurs. La Science et son lexique mis à toutes les sauces sont un outil rêvé pour tous les charlatans. Le personnage du médecin ambulant du Farwest vendeur de médecines miracle a son pendant en Europe et en Chine …Moins folklorique , moins connu mais tout aussi redoutable. Nous avons même eu l’occasion de croiser certains de leurs clients crédules en des lieux que la discrétion m’interdit d’évoquer trop précisément . Bien entendu la haute spiritualité n’est le plus souvent que la compagne de la plus haute et énorme cupidité . À l’opposé l’intérêt apparent du public ,sa crédulité parfois malveillante, se cache sous le pathétique paravent de la soif de savoir. ( la Nenquête Nindépendante)
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En matière de Terre creuse nous avons deux écoles
a) Nous vivons sur une planète avec un monde caché dedans.
Un certain Shaver prétendait qu’une race supérieur préhistorique avait bâti un dédale de cavernes dans les profondeurs de la Terre, et que leurs descendants dégénérés, connus sous le nom de « Dero », y vivaient encore, et utilisaient les fantastiques machines abandonnées par les anciennes races pour tourmenter ceux d’entre nous qui vivent à la surface. Comme particularité de ces tourments, Shaver décrivait des « voix » qui, selon lui, ne provenaient d’aucune source explicable. Des milliers de lecteurs écrivirent pour affirmer qu’eux aussi avaient entendu les voix sataniques provenant de l’intérieur de la Terre.
b) La Terre concave
Nous vivons à l’intérieur de la Terre . Un certain Cyrus Teed médecin et alchimiste aurait eu en 1869 l’intuition mystique de ce qu’il appela une Cosmogonie cellulaire. La Révélation ça ne se commande pas. Sur sa lancée il fonda une secte la Koreshan Unity et regroupa ses « fidèles » en une communauté utopiste à Estero en Floride. Par la suite , « ses équipes techniques » effectuèrent des mesures à l’aide d’un appareil nommé le rectilineator en Floride et à Naples qui apportèrent le preuve de la concavité de la Terre .
Il n’est pas indifférent pour l’historien de rappeler que Hitler dans sa poursuite de l’arme secrète aurait fait vérifier les deux théories .
Je vous prierai de conserver en mémoire l’attirail mécanique de la thèse de Shaver .
Rien ne se perd tout se transforme en espèces sonnantes et trébuchantes chez les Margoulins.
c) La toujours fameuse AGARTHA ……mais ce n’est pas ma préférée
Agartha est un royaume souterrain centré originellement autour d’ AYODHYA une cité antique de l’Inde aujourd’hui dans l’État de l’Uttar Pradesh. Son fondateur Manu le progéniteur indien de la race humaine serait aussi son premier législateur Dans l’antiquité, Ayodhya – alors appelée Saketa – était la capitale du royaume de Kosala . Ville sainte de l’Hindouisme , elle est considérée comme sacrée car elle est supposée avoir été la capitale du royaume de Rama , le héros du Ramayana
Agartha fut transférée sous l’Himlaya en 1800 av JC où son roi garde un secret qui permet de fabriquer des armes puissantes grâce auxquelles le Christ anéantira le mal et établira la paix. Impossible de tomber aisément sur une traduction des 48 000 vers du Ramayana , les pages Google sont encombrées par les sites new age .
Je vous livre l’adresse d’un au cas où seriez en manque de révélation. http://perso.numericable.fr/~luservel/lesgardiensdusavoiraccueil.htm
Méfiez vous , vous risquez de tomber sur des sites bouddhistes qui n’hésitent pas à s’accaparer l’histoire alors que la légende est de 1500 ans bien plus vieille que l’Illuminé .
c bis) Un autre individu sans scrupule
Ossendowski fut un explorateur et écrivain russe d’origine polonaise, au début du XXème siècle, il prétendra avoir conduit une périlleuse expédition en Asie Centrale, qu’il relate dans son livre »Bêtes, Hommes et Dieux » (1924). En vérité il était en fuite devant les troupes qui le poursuivait pour le fusiller .
Effet il avait, après avoir été toute sa vie de toutes les insurrections russes, viré casaque et s’était mis au service de Koltchak Au cours de son long périple à travers les plateaux arides de la Mongolie, les lamas lui dévoilèrent peu à peu l’existence du royaume souterrain de l’Agartha. « Ce royaume est Agartha. Il s’étend à-tous les passages souterrains du monde entier. C’est un grand royaume comptant des millions de sujets sur lesquels règne le Roi du monde. Il connaît toutes les forces de la Nature, lit dans toutes les âmes humaines et dans le grand livre de la Destinée… »
Selon les lamas c’est en empruntant le passage vers ce royaume souterrain qu’ une tribu aurait échappé à la vengeance de Gengis Khan. Il n’est pas étonnant qu’un mythe indien soit retenu par des populations mongoles car deux trajets sont possibles .
- Le premier , le plus ancien est la vieille routes des ancêtres , la route de la soie originelle qui du Pendjab/Cachemire accède à l’Afghanistan, traverse l’Hindu Kouch par Bamyan pour se retrouver aux pieds du relief en clavier de piano agencé Nord => Sud . On peut choisir la destination de Kachgar en remontant la vallée du Waksh ou en traversant les « Portes de Fer » rejoindre le Ferghana et de là Kachgar et le Taklamakan
- La seconde est celle empruntée par le Bouddhisme Tibétain autrement le bouddhisme de la Voie du Diamant…Majoritaire en Chine aujourd’hui.
Ossendowski et http://www.archangemichel.org/angelic_realm/AAM_French/Occulte_%26_Politique/Entries/2012/12/6_Agartha_et_la_Terre_Creuse.html
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Deux sujet mériteraient d’être présentés et traités ultérieurement….qui sait? ……….tout peut arriver .
- Les trois véhicules du Bouddhisme
- La véritable Route de la soie
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La très authentique et véridique histoire de la Terre Creuse_1_
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La très authentique et véridique Terre Creuse _2 _
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Grace soit rendue à Asinus…
Sans lui je ne serais jamais allé à la recherche de ce site __ je vous en parlé hier.
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En parfaite conformité avec ce que tente d’expliquer mon article on peut placer Homère et les différentes thèses sur son existence…
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Un superbe article sur Homère
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3 Thèses
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soit les dieux dont Homère se fait le chantre ont existé et ils ont inspiré leur hagiographe. Ces vers étaient donc faits pour rencontrer notre époque.
Soit rien n’a changé sous le soleil de Zeus et les thèmes qui traversent les poèmes ; la guerre, la gloire, la grandeur, la mort, sont le combustible impérissable de l’éternel retour. Mais dans les deux cas, le poème homérique est un poème éternel car l’homme, s’il a changé d’habits, est exactement le même personnage misérable et grandiose, qu’il soit casqué sur la plaine de Troie ou en train d’attendre l’autobus dans la France de 2017…
Homère est notre très vieux compagnon d’aujourd’hui, demandons-lui ce qu’il a encore à nous dire…
Les Voyageurs
__entre Boukhara, Samarcande, Kashghar, d’une part,
___et Multan, Lahore, Srinagar, de l’autre,
malgré des montagnes meurtrières, Hindou-Kouch, Pamirs, Himalayas, un incessant va-et-vient de caravanes ou d’armées a fait circuler les marchandises, les techniques, les idées…
Marchands, soufis, militaires ont parcouru ces routes, ensemble ou séparément, parfois confondus. Les ressacs de la colonisation, puis des indépendances, les découpages frontaliers inédits, les conflits au Cachemire et en Afghanistan, ont peu à peu fragmenté, étranglé, voire complètement fermé leurs itinéraires.
Devenus lieux de trafics irréguliers, ils font l’objet de tentatives de réouverture, via la Chine et le Pakistan, mais le désenclavement de l’Asie centrale tend aujourd’hui à prendre d’autres directions et d’autres voies, sans que disparaisse l’attente d’une véritable renaissance des routes traditionnelles…
C’est leur description, dans toute la durée de leur histoire, que propose ce premier numéro des Cahiers d’Asie centrale, revue de l’Institut français d’études sur l’Asie centrale (IFÉAC). Il ne s’adresse pas seulement aux spécialistes de l’Asie centrale et aux chercheurs, mais se veut accessible au grand public. Ce volume adapte les contributions d’un colloque réuni à Tachkent, du 23 au 25 octobre 1995, par l’Institut. Confrontant pour la première fois les points de vue des savants de “l’intérieur” (l’ex-Union soviétique) et de l’extérieur, de l’Est et de l’Ouest, il rassemble un matériel riche et parfois inédit, propre à susciter réflexion et interrogations sur une région dangereuse à plus d’un égard, mais si attirante…
Notes de la rédaction
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1/2 | 1996
Inde-Asie centrale : routes du commerce et des idées
Sous la direction de Thierry Zarcone
cac-01-02
Informations sur cette image
ISBN 2-85744-870-8