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Vous vous rappelez sans doute … Il y a quelques semaines un de nos « amis fidèles » nous confiait ( comme d’habitude sans qu’on lui demande rien) qu’il était le fils de son cousin germain. En clair il est le fruit de l’union consanguine de sa mère et d’un de ses neveux
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Suivant on ne sait quel tropisme notre ami , qui a choisi de retourner sa veste à la suite de sa fréquentation assidue de la Mosquée
Fracassor s’est enfin trouvé un travail
d’à coté et dont nous conservons des déclarations peu recommandables sur le comportement de ce qu’il nomme « cette ethnie arabe », a choisi de jouer les petits télégraphistes de toute la propagande Islamienne sur le Forum Maboul Vox
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Nous avions remarqué qu’il faisait , lui, un lien scabreux et obligé entre arabes et Islam, ignorant les Balkans , le monde Turc , le Pakistan, l’Inde et la Malaisie
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Nous avions remarqué encore qu’il se considérait comme exonéré et absous de toutes les conséquences de ses anciennes déclarations car il s’octroie le droit de dire et faire n’importe quoi en vertu d’une hypothétique pathologie mentale. C’est pas moi M’sieur c’est mon cerveau
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Nous savions que cette très hypothétique maladie lui servait de passeport fantasmatique pour accéder à un monde délirant , associant à sa manière Génie et maladie mentale . L’un impliquant l’autre et inversement .
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De là son illusion, maintes fois répétée partout sur le Net , d’une communauté de phares de la pensée occidentale à laquelle il s’agrège ___ ça va de soi__ On sait qu’il en a joué pour obtenir et se voir attribuer une pension indue l’AAH lui permettant de vivre pénard sans bosser et sans cotiser et….vivre aux crochets de la couverture sociale . Pour ce faire , il a mis tout son esprit dépravé et ses relations familiales dont il nous a dit ___( toujours sans qu’on lui demande rien ) __ l’activité au sein d’un organisme international
Il est normal que les Islamiens comme Omar et les fracassés du bulbe comme el Fracassor se retrouvent côte à côte.
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Cet article nous en dit plus .
http://www.santemaghreb.com/algerie/pdf/bloc_302.pdf
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Consanguinite´ , schizophrenie et trouble bipolaire
Consanguinity, schizophrenia and bipolar disorder
Aıcha Dahdouh-Guermouche,
Mohammed Taleb *,
Philippe Courtet,
Boualem Semaoune,
Alain Malafosse
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Pavillon Calmette, 5, rue du Dr Burnet, 27200 Vernon, France
Cet article n’est pas libre de droit je ne peux vous en donner qu’un résumé, l’introduction et la conclusion. Mais sa dimension réduite 3/5 pages en Français est une invitation à en prendre connaissance au plus vite.
Résumé
La consanguinité est une relation entre deux personnes qui partagent un ancêtre commun. Elle est habituellement définie comme le résultat d’une reproduction sexuée entre deux individus apparentés. En d’autres termes, les mariages consanguins se réfèrent à des unions contractées entre des individus biologiquement liés.
Ces unions sont encore fréquentes et constituent des pratiques très répandues dans certaines régions du monde. La région la plus concernée s’étend de la rive sud de la Mer Méditerranée à travers le Moyen-Orient, la Mésopotamie, le Golfe persique et l’Inde subcontinentale jusqu’au sud-est de l’Asie.
Sur la base des données disponibles, il apparaît que les couples apparentés au second degré ou plus et leur progéniture représentent 10,4 % de la population mondiale actuelle.
Leurs conséquences sur la fréquence des maladies à déterminisme génétique sont importantes et notamment en ce qui concerne les maladies autosomales récessives.
Les études de jumeaux et d’adoption et les estimations du risque de survenue de troubles mentaux chez les apparentés de sujets atteints dans les études familiales ont confirmé l’existence d’une composante génétique dans la vulnérabilité à de nombreuses affections psychiatriques.
Les techniques récentes d’examen du génome entier ou étude d’association pangénomique, en anglais genome-wide association study (GWAS), permettent d’identifier de plus en plus de gènes impliqués dans les troubles mentaux majeurs tels que
la schizophrénie,
l’autisme et
le trouble bipolaire.
Les études d’épidémiologie génétique auprès de populations consanguines et/ou constituant un isolat géographique mettent en évidence une augmentation des taux de mortalité et de morbidité infantiles, de la fréquence des maladies monogéniques récessives et une concentration accrue de maladies communes multifactorielles comme les troubles psychotiques.
Elles confirmeraient l’existence d’un lien significatif entre consanguinité et troubles mentaux et l’augmentation du risque au sein de la descendance des couples consanguins.
Ces études sur les liens entre consanguinité et troubles psychotiques sont peu nombreuses. Les rares données dont nous disposons semblent pourtant en faveur d’une augmentation de la fréquence de la schizophrénie et des troubles bipolaires dans la descendance de parents consanguins. La découverte récente des variants génétiques rares et leurs implications dans les troubles psychotiques constituent un argument en faveur de l’hypothèse « maladie commune-variants rares ». Dans ce cadre, l’étude de familles consanguines pourrait contribuer à tester les liens entre ces variants rares et quelques phénotypes et à établir des descriptions d’associations génotype/phénotype.
Le développement de techniques nouvelles en génétique moléculaire devrait favoriser de telles études. L’ensemble de ces aspects mettent en évidence l’importance de l’étude des populations consanguines dans la compréhension du rôle des déterminants génétiques dans les pathologies psychiatriques et soulignent l’intérêt du conseil génétique pour ces communautés à hauts risques de troubles mentaux. Ils peuvent permettre également la mise en place de politiques de prévention et de sensibilisation sur les risques liés aux unions consanguines.
Introduction de l’article
Les unions consanguines demeurent largement répandues, notamment au Moyen-Orient et au Maghreb où elles sont favorisées par les traditions et habitudes culturelles, plus particulièrement en milieu rural, et par des représentations sociales liées, pour la plupart d’entre elles, à des pratiques communautaires et religieuses.
Les rives sud et est du bassin méditerranéen possèdent les plus hauts niveaux de consanguinité dans le monde, la région la plus concernée s’étend de la rive sud de la mer Méditerranée à travers le Moyen-Orient, la Mésopotamie, le Golfe persique et l’Inde subcontinentale jusqu’au sud-est de l’Asie [9]. Sur la rive nord du bassin méditerranéen, les taux de consanguini sont en revanche assez bas, même si de telles pratiques peuvent être observées au sein de communautés de migrants en rapport avec les traditions des pays d’origine.
Les premières hypothèses sur les conséquences biologiques des unions consanguines remontent aux observations de Charles Darwin. Les études d’épidémiologie génétique mettent en évidence une augmentation des taux de mortalité et de morbidité infantiles et de la fréquence des maladies monogéniques récessives au sein de ces populations.
L’importance du risque de malformations congénitales chez les enfants issus de mariages entre cousins germains [18] et l’excès de mortalité infantile et périnatale [6] sont déjà connus.
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- Les hémoglobinopathies,
- le déficit en G6PD et
- la fièvre méditerranéenne familiale sont fréquents partout dans la région du bassin méditerranéen,
- comme la perte héréditaire de l’audition,
- le syndrome de Bardet-Biedl et
- le syndrome de Meckel-Gruber.
La consanguinité serait également à l’origine d’une concentration accrue de maladies communes multifactorielles
comme les troubles psychotiques [6,41].
Il est en effet suggère l’existence d’un lien significatif entre consanguinité et troubles mentaux et l’augmentation du risque au sein de la descendance des couples consanguins [6].
Dans ce contexte, les études menées auprès des populations consanguines peuvent constituer un moyen de mieux comprendre le rôle des déterminants génétiques dans les pathologies psychiatriques tout en soulignant l’intérêt du conseil génétique pour ces communautés à` hauts risques de troubles mentaux. Malheureusement, les travaux consacrés a` la vérification de ces hypothèses et les résultats obtenus sont très rares, et ce en dépit de l’intérêt d’un tel sujet.
L’article se poursuit
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Concept de consanguinité et ses aspects socioculturels
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Effets génétiques de la consanguinité
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Épidémiologie génétique et consanguinité
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Évolutions des techniques en génétique et consanguinité
6 Conclusion
Extraits
Les unions consanguines demeurent encore fréquentes et constituent des pratiques très répandues dans certaines régions du monde…….
……..Le peu de données dont nous disposons semblent pourtant en faveur d’une augmentation de la fréquence de la schizophrénie et du trouble bipolaire dans la descendance de parents consanguins. …….
Lectures :8726
Connaissez vous les BACHA BAZI
Une vieille coutume inscrite au patrimoine respectable ( comme dirait RENEVE)
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C’est marrant . Ni l’érudit Gazy Borat ni le Fracassé n’ont pris une seconde de leur temps pour venir condamner cette coutume .
Que voulez vous ?
Le Respect ça ne se commande pas.
Bijour Furtif
Tu veux dire les Bacha Bazi ou bača bāzī
forme d’esclavagisme sexuel, la prostitution de garçons pré-pubères, d’adolescents vendus à des hommes riches ou puissants pour des divertissements sous forme de danse et des activités sexuelles. Cette entreprise prospère en Afghanistan, où de nombreux hommes les possèdent comme symbole de leur statut social…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bacha_bazi#cite_note-10