Délices islamiennes . Violer et Punir

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VIOLER

(Bukhari, Sahih 60/ 139).
Nous participions aux guerres saintes dirigées par le prophète et nous n’avions pas de femmes avec nous. Alors nous avons ditvioleur au prophète :
– Devons-nous nous castrer ?
Alors le prophète nous a interdit de le faire et nous a permis d’épouser (temporairement) une femme en lui donnant un vêtement puis il dit :
– Ô vous qui croyez ! Ne rendez pas illicite ce qu’Allah a fait licite pour vous.

(Bukhari, Sahih 62/11).
L’envoyé d’Allah a interdit à Othman ibn Mazun de s’abstenir de se marier (et d’autres plaisirs), et s’il avait autorisé cet abstinence , nous nous serions castrés.

(Bukhari, Sahih 62/ 9).
Nous combattions dans les guerres saintes avec le prophète et nous n’avions pas de femmes avec nous. Alors nous avons demandé :
– Ô envoyé d’Allah ! Devons-nous nous castrer ?
Le prophète nous l’a interdit .

(Coran 2/220-223).
Les croyants t’interrogent sur la menstruation. Réponds-leur :
-C’est un mal. Tenez-vous à l’écart des femmes, durant la menstruation, et ne vous approchez point d’elles avant qu’elles ne soient pures.
Quand elles se seront purifiées, venez à elles comme Allah vous l’a ordonné!
Allah aime ceux qui viennent à résipiscence et ceux qui se purifient.
Vos femmes sont un champ de labour pour vous.
Venez à votre champ de labour, comme vous voulez, et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance!
Soyez pieux envers Allah et sachez que vous le rencontrerez! prophète!, fais gracieuse annonce aux croyants.

(Bukhari, Sahih 7/12, 1).
D’après Anas ibn Malik, lorsque l’envoyé d’Allah fit l’expédition de Khaybar, nous fîmes la prière du matin devant cette ville avant qu’il fit grand jour. Le prophète monta ensuite sur sa monture ; Abu Talha et moi, qui étais en croupe de ce dernier, nous fîmes autant. Le prophète lança sa monture dans la rue de Khaybar et mon genou touchait la cuisse de l’envoyé d’Allah. Comme il relevait le voile qui couvrait sa cuisse, je pus apercevoir la blancheur de sa cuisse.
Une fois entré dans le bourg, l’envoyé d’Allah s’écria :
-Allah est grand ! Khaybar sera détruite! Chaque fois que nous descendrons sur le territoire d’un peuple, sinistre sera le matin de ceux qui ont été avertis de nos menaces!
Par trois. fois il répéta ces paroles. A ce moment les habitants de Khaybar, qui sortaient pour se livrer à leurs occupations habituelles, s’écrièrent:
-C’est Muhammad!
Abdelaziz fait remarquer que quelques-uns de nos compagnons assurent que les habitants ajoutèrent:
– Avec la khamis, c’est-à-dire l’armée.
La ville ayant été prise de force, ajoute Anas, on rassembla les captifs. Dihya se présenta alors et dit:
-Ô prophète d’Allah, donne-moi une des femmes captives.
– Va prendre une femme, lui répondit le prophète. Et Dihya prit Safiyya ibn Hoyayy. Alors un homme vint trouver le prophète et lui dit :
-Tu viens de donner à Dihya Safiyya bint Hoyayy, la princesse des Qurayza et des Banu Nadir ; or cette femme ne convient qu’à toi seul.
-Qu’on les amène tous deux, répliqua le prophète. Quand on les eut fait venir tous deux et que le prophète eut vu Safiyya, il dit à Dihya:
-reprends une autre femme parmi les captives. Le prophète, ayant alors affranchi Safiyya de sa captivité, la prit pour femme.
Thabit dit à Anas:
-Ô Abu Hamza, quelle dot le prophète lui assigna-t-il?
-Sa propre personne, répondit-il, puisqu’il lui donna la liberté et l’épousa ensuite. Ce fut en cours de route que Umm Sulaym para Safiyya et la conduisit au prophète pendant la nuit, en sorte que le lendemain matin il se trouva être un nouveau marié. Alors le prophète dit :
-Que quiconque a par devers lui quelque victuaille l’apporte ici.
Aussitôt on étendit une natte et chacun apporta ce qu’il avait, l’un de la graisse, l’autre des dattes.
Et, ajoute Abdelaziz, je crois que Anas a parlé de sawiq (qu’on apporta également). On fit du tout le mélange appelé bays et tel fut le festin de noces de l’envoyé d’Allah.

PUNIR

401387_432671490101937_1362702118_n(Bukhari, Sahih 52/ 286).
Un espion infidèle vint vers le prophète qui était en voyage. L’espion s’assit avec les compagnons du prophète et commença à parler avec eux et s’en alla. Le prophète dit:
-Poursuivez-le et tuez-le.
Alors je l’ai tué. Le prophète me donna les biens de l’espion tué.

(Bukhari, Sahih 56/173).
Un espion des polythéistes était venu auprès du prophète pendant une expédition. Il s’assit à converser avec les compagnons, puis s’en alla. Alors le prophète dit:
-Qu’on le poursuive et qu’on le tue!
Je tuai l’espion, et le prophète me donna ses dépouilles comme prise de guerre.

(Muslim, Sahih 3265).
D’après Ibn `Umar , le prophète a dit:
– « Au Jour de la Résurrection, quand Allah rassemblera les premiers et les derniers, on hissera un drapeau pour marquer chaque traître et on dira: Ceci est la trahison d’untel, fils d’untel ».

(Muslim, Sahih 32/3268).
D’après `Abdullah ibn Masûd, le prophète a dit : « Au Jour de la Résurrection, on hissera un drapeau pour marquer chaque traître et on dira :
-Voici la trahison d’untel ».

(Muslim, Sahih 32/3270).
D’après Anas, le prophète a dit : « Au Jour la Résurrection, tout traître sera désigné par un drapeau ».

(Muslim, Sahih 32/3298).
C’était pendant notre expédition des territoires de Hawâzin avec l’envoyé d’Allah que l’incident suivant se produisit : Un 6a01156fb0b420970c017ee7040ca6970dhomme en selle d’un chameau roux arriva alors que nous déjeunions avec le prophète. Il fit baraquer la bête, tint l’une de ses brides et le fit attacher quelque part pour aller manger avec les fidèles. Pendant le repas, il ne cessa de regarder ici et là (pour sonder la force de notre armée). Or, nos points faibles furent dans le dos de l’armée; et également dans le fait que certains d’entre nous étaient sans montures. L’homme s’en alla après un instant en courant. Il relâcha son chameau, le fit accroupir pour monter dessus, puis le releva et partit. Ainsi, l’un des fidèles monta-t-il une chamelle de couleur grisâtre et le suivit.
– « Je courus à sa poursuite, raconte Salama, et j’arrivai d’abord à la cuisse du chameau (de cet espion) puis aux brides dont je saisis une corde. Je fis baraquer le chameau et, dès qu’il mit bas les genoux, je dégainai mon sabre et frappai la tête de l’homme qui, sur-le-champ, tomba. Je ramenai à notre camp le chameau de l’espion ainsi que les vivres et armes dessus. L’envoyé d’Allah et les autres me reçurent.
– « Qui a tué l’homme? », demanda le prophète.
– « C’est ibn al Akwa « , répondit-on.
Et le prophète de dire :
-« Toutes les dépouilles lui appartiennent ».

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7 Commentaires
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Leon
Administrateur
Leon
18 novembre 2015 16 h 20 min

Il paraît que c’est une religion de paix et d’amour, n’est-ce pas ?

ranta
ranta
3 décembre 2015 11 h 46 min
Reply to  D. Furtif

Ouais, et il y a aussi celui qui dit que les traductions ne sont que le reflet de ce que le traducteur a compris 😆 et qu’en conséquence aucune traduction n’est fiable, ce qui ne l’empêche pas d’inviter cette pauvre connasse qui refuse de se laisser grimper dessus sans son accord de trouver une traduction plus conforme. 😆

Leon
Administrateur
Leon
3 décembre 2015 13 h 39 min

Ce sont toujours les mêmes conneries. Pour ce qui est des traductions, il faut leur rappeler que le coran a été écrit dans un arabe du 8e siècle, imbitable par un arabophone moderne et que, donc, le coran actuel en arabe est déjà une traduction.

Leon
Administrateur
Leon
3 décembre 2015 18 h 24 min

Houlà , va falloir que je me replonge dans cette histoire… Et une fois de plus où trouver l’arrêt ?