Un apostolat citoyen : lire Morice

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Un truc que je ne fais jamais, et , si on veut bien  l’avouer : que personne ne fait jamais. J’ai lu l’article de Morice de ce jour. Et comme son employeur m’a déjà sucré une quarantaine de comptes;……Je vous confie le résultat Defi277de cette lecture. C’est dire mon dévouement citoyen. Avant hier j’avais lu les inventions électriques du CABANOU…On est bien dans la même crèmerie

Le jet privé est, on le sait, un symbole de richesse actuel, un caprice de star. Nul doute que le système politique d’un Chavez l’exclut directement de l’environnement de ses dirigeants : le socialisme partageur en béret rouge, se prétendant près de « son » peuple, ne vole pas à l’évidence en fauteuil de cuir à 20 000 mètres de haut ses avions de riches qu’il fallait rendre au peuple ». Le discours de 1999 est resté célèbre, mais les avions n’ont jamais quitté leurs propriétaires patronaux. Bien au contraire : les dirigeants politiques vénézuéliens si près du peuple en ont largement profité… jusqu’au jour où un journaliste plus curieux que les autres a fait le bilan des dépenses somptuaires d’un ministre sous Chavez pour aller faire du ski ou visiter la Floride…

Chavez et ses jets

Un article vengeur de mars 2013 de Javier Ortega Figueiral expose crûment cette duplicité de Chavez à propos des jets gouvernementaux : « Voulant donner un exemple suprême de l’empathie avec les gens, Chavez avait souligné que l’un des avions à vendre, était un Gulfstream de la flotte présidentielle qui devrait qui aurait dû être le premier à donner l’exemple de l’austérité, symboliser la fin de la corruption en s’en prenant aux « queues décorées » ou siglées des appareils, populairement appelés “colitas en los aviones de PDVSA”, similaire à « viajar de gorra (« casquette », ou « chapeau de voyage ») » comme expression pas du tout l’expression signifie resquiller . Le Gulfstream présidentiel ne (ex FAV0004) s’est pas vendu il a été envoyé aux États-Unis (en 2006) pour être démoli.Vendu à la ferraille   La photo est prise dans le désert de Mojave (c’est le N124TV ; ex suisse HB-IEW)

Rupture entre deux éléments copiés/collés
….

Après cette décision il n’a plus jamais parlé ??qui il ??de la vente des avions ni vraiment vérifié les avantages supposés ou réels de ce genre d’action de propagande, parce que juste ???au registre des aéronefs vénézuéliens, la plupart des appareils de type Falcon 50 ou 900 encore en état de vol sont restés inchangés en propriété et on peut se demander que signifie cet inchangé en propriété de nouveaux appareils ont même été achetés, ils ont été enregistrés à la fois dans le pays et aux États-Unis au nom de Citgo Petroleum Corporation, la filiale américaine de PDVSA.

Très apparemment le « Il » du début de phrase devrait être un « ON » et la dite phrase devrait être complètement refaite.Mais ….
Le Team Morice a autre chose à faire

Pour sa part, l’avion symbolique de la présidence, n’a pas réussi à être vendu, mais a été cédé pour obsolescence et a été détruit dans le désert de Mojave, aux Etats-Unis ».

On peut supposer que les fameux avions récupérés par Chavez et ses copains étaient trop vieux pour être revendus . Ils leur ont servi avant d’être envoyés à la ferraile. Vain Dieu le crime

Les avions de CITGO
L’achat  du 319, sur un coup de tête. « Loin de suivre la politique d’austérité promise peu de temps ???avec un achat absolument inattendu en contradiction avec leurs encore un copié collé dont on ne se donne pas la peine de remettre en forme la syntaxe allégations dures contre les dépenses, a été effectué.
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Petit exercice = retrouver le sujet de ce verbe => « a été effectué »
Lors d’une tournée des pays asiatiques de Chavez, fin 99, son le Boeing 737 vétéran de l’Air Force a subi une crevaison et l’Emir du Qatar l’a invité à poursuivre le voyage dans un tout nouveau Airbus 319 CJ « Executive », dans lequel il a aimé volé . Dès qu’il est revenu à Caracas il a négocié avec le constructeur européen pour acquérir un modèle identique à celui du Qatar pour devenir l’avion présidentiel bolivarien, au prix peu austère de 80 millions de dollars, y compris la décoration, le confort VIP, les équipements de transmission et d’autres caractéristiques qui distinguent un avion de ce type de ces homologues commerciaux, tels que sa capacité limitée à seulement 30 personnes, quand le même appareil dans des environnements commerciaux peut emporter 141 passagers »…
L’Airbus de Chavez
L’achat de l’avion, qui est entré en service en 2001 était controversé et critiqué comme inutile et trop coûteux est pourtant resté grâce à la surexploitation qui a été donnée à l’appareil : non seulement le transport de Chávez sur de longues tournées, mais aussi dans des gestes d’amitié, tels que des vols gratuits pour Evo Morales, Daniel Ortega, Alexandre Loukachenko et Mahmoud Ahmadinehejad, plus un certain nombre de personnalités et professionnels cubains, qui ont ainsi volé au Venezuela.

Encore une fois des éléments de plusieurs phrases copiées collées en une seule

L’appareil présidentiel précédent, un Boeing 737-200 n’a pas non plus été vendu mais Chavez en a dit qu’il deviendrait un dispositif populaire utilisé « pour les pauvres pour qu’ils puisse se rendre à des endroits comme Isla Margarita » (sic.), ce qui n’est jamais arrivé. » Les « colitas en los aviones » se sont perpétuées, comme toujours, pour quelques-uns.

Les petits copains continuent à bénéficier des avions

Maduro, lui, a trouvé tout seul une « faille » dans l’aile de l’avion de Chavez, le fameux 319 de luxe… et l’aurait fait révisé « en France » pendant cinq mois à quel coût ?) Mais aurait toujours peur de voler avec. Paranoïa aigûe aiguë de sa part ? Le 14 janvier, il déclarait l’avoir « offert » à Conviasa (avec l’aile toujours défectueuse ?)… une réminiscence du discours du 14 septembre 1999 ? En tout cas ; ça s’est mal passé avec Airbus…

Pots de vins au menu, et jet au dessert
Il y en a eu d’autres, ensuite, d’avions.

Construction de phrase moricienne du premier type

Le montage effectué pour obtenir l’usage de luxueux jets est un grand classique de la dissimulation de pots de vins. Le Venezuela n’y échappe pas, et les généraux étoilés ou « ensoleillés » plutôt, en ont largement profité eux aussi. Des sociétés se sont largement sucrées au passage…

Réjouissons nous quand même nous venons de lire du Morice. Vous aurez remarqué depuis le début que le Team se consacre exclusivement au copié collé des articles qu’il pompe.
Nous le retrouverons dans une petite 30 aine de lignes

foucestfou« Derwick Associates est une société installée dans les Bermudes dans le domaine de l’électricité et cet entrepreneur a eu beaucoup de succès pour la vente de centrales à des entreprises appartenant à l’Etat vénézuélien. Ces efforts ont attiré l’attention de la presse et, plus récemment, l’ancien ambassadeur américain du Venezuela à Otto Reich,

Le traducteur fait n’importe quoi , on copie quand même. Ni le Team ni la modération des 1000 ne viendront objecter. On n’objecte pas chez Maboul

qui a poursuivi deux responsables de Derwick (Pedro Trebbau Lopez” et “Leopoldo Alejandro Betancourt Lopez) pour ingérence alléguée ( j’aurais dit avérée…) avec les entreprises et de racket, les accusant de corruption également au Venezuela. » « Derwick Associates est l’élément clé de ce montage (ici à gauche le jeune président de Derwick Associates, Alejandro Betancourt).

Ouachte , vous aurez remarqué que le jeune Alejandro ne porte pas de cravate…Oh que c’est laid !

Comme le précise un remarquable article

Tiens revoilà revoilou 6 mots du le Team Morice

« le mode d’entreprise » de Derwick Associates est simple. De leur port d’attache des opérations aux États-Unis, les gens de Derwick Associates offrent plusieurs millions de dollars de commissions occultes à des fonctionnaires au Venezuela en échange de l’octroi des contrats de construction publiques d’énergie et d’industrie. Une fois que les contrats sont fixés entre eux et Derwick Associates (et finalement lorsque que l’argent est transféré à New York sur des comptes bancaires), les gens de Derwick Associates prennent quelques millions « écrémés sur le dessus », qu’ils déposent dans les banques américaines. Il appellent alors d’autres sociétés américaines en sous-traitance sur le travail réel à effectuer sur site à (?)dont une installée

Encore un morceau disparu

dans le Missouri. Avec ce type de contrats ainsi faits, les deux mots sont sans doute du Morice l’activité principale de Derwick Associates est la corruption continue pour l’obtention de contrats d’énergie, et d’industrie. Tout travail légitime effectué en vertu de ces contrats est effectué par d’autres. Leur stratagème illégal se fait de leurs maisons et bureaux à New York à travers divers agents et à travers leurs entreprises et les relations américaines qui les exécutent. »

Attention Morice revient ….Il fait une découverte

Tiens, tiens : les vénézuéliens n’ont donc jamais tiqué pour se faire embarquer par des avions… texans ? Pour ses contrats avec Petroleos de Venezuela SA (PDVSA Derwick est passé par Bariven, une division de PDVSA (qui aurait été grugée de 70 millions de dollars !). Un avocat lié aux droits de l’homme, Thor Leonardo Halvorssen Mendoza, a poursuivi Derwick et Betancourt, pour avoir dû verser 50 000 000 de dollars à Diosdado Cabello, le président de l’Assemblée Nationale pour pouvoir hériter des contrats (ce que Derwick a nié, bien sûr) : on retombe sur le même et la même méthode !

Si vous ne comprenez rien et que vous deviez relire plusieurs fois …
C’est normal c’est du Morice concentré…
Il découvre et il accuse …Vous connaissez ses méthodes…

  • Les Vénézuéliens volent dans des avions texans
  • PDVSA ou Derwick est passé par???Bariven ??? La vache on a peur
  • Un avocat lié aux droits de l’homme a poursuivi Derwick et le petit jeune homme sans cravate qui aurait versé 50 millions de $ au président Cabello
  • Et ????? Et … ???? Bin attendez bandes de petits impatients , on n’en est qu’au 80è épisode d’une histoire qui en comptera 2000…Les annonceurs publicitaires ont de telles exigences !!!

Un marxisme proche de capitalistes texans !
Parmi les sous-traitants, on trouve, en effet, c’est amusant… des texans.

Quoi ?
On nous aurait menti ?
Des Texans dans des affaires de pétrole ?

Ainsi au détour d’une recherche internet particulière, on tombe sur une autre entreprise US :

Et c’est reparti pour une nouvelle tartine de copié collé

« Industrial Ovarb est une société enregistrée au Texas qui a fait des centaines de millions de dollars de ventes à PDVSA, la compagnie pétrolière d’État du Venezuela en 2010, au cours de la première phase de crise de l’électricité actuelle au Venezuela.

Je ne vous cacherai pas que j’ai du mal à mettre ensemble première et actuelle….mais je ne suis pas un journaliste citoyen

Ovarb (*) est une société sœur de Tradequip Marine Services, une société basée dans la banlieue nord de Houston qui fait une majorité des ventes IST à PDVSA. Tradequip a une entreprise vénézuélienne aussi, Tradequip CA. Tradequip, Ovarb, avec une foule d’autres entreprises, sont contrôlées par la famille de Roberto Enrique Fernández Rincón (ici à droite) , un Vénézuélien ayant un manoir à The Woodlands, au Texas(d’une valeur de 5 885 080 de dollars, elle est ici à droite). Son fils, Jose Enrique Rincón Bravo est aussi un acteur majeur dans la société. (Ovarb signifiant Bravo à l’envers) trop fort Morice . Son beau fils, Ottavio Cautilli, a été utilisé pour vérifier les noms de domaine liés à Ovarb. Je pense

Attention soyez vigilant , notez bien cette prétentieuse affirmation est du Team

que Humberto Roberto Bravo est le beau frère de Roberto. Retour en 2010, avec l’enregistrement de la société Ovarb au nom d’une femme nommée Sara Curphy. Elle a été inscrite en tant que présidente sur certains documents juridiques et sur le site. César Batiz, un journaliste à El Mundo et aux Dernières Nouvelles à Caracas, a signalé il y a quelques années Ovarb dans son désormais célèbre article, « PDVSA acheté trop cher ». Un autre article sous son nom disait que Michael Baker, le mari de Curphy, est également apparu comme nom dans les documents juridiques et des entreprises associées à certaines des sociétés des Rincon. José Berti a fondé une société avec José Roberto Rincón (et selon le journal aujourd’hui disparu 6to Poder, Berti avait également été mêlé à une affaire intéressante avec ses propres affaires). D’autres noms de domaine enregistrés sont liés à Abraham Shiera. Shiera est un homme d’affaires vénézuélien-floridien qui dirige des les entreprises qui vendent des matériaux à PDVSA. (Il apparaît également dans cette photo  Avec Enrique Roberto Rincon.)

La femme , le fils le gendre , le père le cousin le journaliste….La villa le Navion …Vous avez le droit d’aller prendre un peu l’air….
Mais ne vous plaignez pas , je connais des gens qui lisent les Nartics du Momo tous les jours…
Bin oui , les 1000 de la Grande Modération citoyenne

A noter que Roberto Rincon dispsose d’un jet, le N9GY, inscrit à la FFA sous le nom de Global Air Services Corp ; enregistré…à Wilmington, dans le Delaware. La société a été créée comme une « Foreign For-Profit Corporation »dans l’Etat du Texas ( vacherie de traducteur) on vendredi 15 janvier 2010. Son directeur est Scott Villanueva, mais son « registered agent for the company » s’appelle… Jose Roberto Rincon. L’homme est un des rares pilotes étrangers acceptés par la FAA, selon ses normes récentes plus strictes…

Des avions inscrits au Delaware

Chouette encore des Navions, Putain ça finit quand ce merdier !!!. Déjà 6 pages en format traitement de texte

« Un point de référence dans l’histoire que je n’avais jamais remarqué – même si elle a été assis- ?????????dans un fichier Excel sur mon ordinateur pendant des mois – c’est que Derwick est le propriétaire apparent d’un jet d’affaires Falcon 2000 N229DA comme nombre de queue. Le détenteur déclaré dans la base de données américaine de la FAA est « SCC Trust Co Fiduciaire Du Delaware (…) mais il y a une autre base de données de la FAA, qui montre Derwick Associates au Venezuela sous la rubrique « opname » (je pense ) Coucou c’est le Momo-Team
que ça veut dire le nom de l’opérateur) pour l’avion N229DA. Il existe un autre avion, aussi : j’ai une copie de cette même base de données de la FAA de juin qui montre Derwick Associés du Venezuela et sous la rubrique « opname » un Cessna 550 avec le numéro d’immatriculation US N300CS. L’avion a été réinscrit au SCC Trust Co. du Delaware, puis radié aux États-Unis après l’exportation au Venezuela.Cette page le montre au Venezuela avec un nombre inconnu. »

Désolé j’ai comme une faiblesse…Je vais faire un petit tour au jardin. Il fait tellement beau index….

De nombreux jets privés, utilisés intensément par les dirigeants politiques
Les avions de PDVSA demeurent nombreux : bien que lors de la campagne 1999 Hugo Chavez avait promis de mettre fin au gaspillage des aéronefs publics à des fins privées et a annoncé la vente de tous les appareils PDVSA (voir notre épisode précédent),
Pour ceux qui ne suivent pas , le début de l’article et sa suite auraient dû être publiés en deux N° successifs On a l’impression que la Grrrrande modération citoyenne force un peu le rythme
cela n’a pas été fait. « Seuls trois appareils ont été vendus. Aujourd’hui PDVSA possède une flotte de 15 avions : avant Chávez il y avait deux avions qui ont rejoint au moins les 13, achetés aupravant entre 2006 et 2011, et le gouvernement est en train de négocier l’achat de sept autres jets Gulfstream », a déclaré l’avocat Joaquin Chaffardet après une étude sur la question des « queues révolutionnaires » les petits copains du régime qui se bousculent pour monter en avion et avoir examiné le rapport et les comptes du ministère du Pétrole et des Mines en 2011.

Toujours cette construction de phrase du prof Morice !

En 2013, le Service d’assistance du transport aérien, SATA, a rapporté l’acquisition d’un Gulfstream III, l’inscription YV2896, (ici à droite) pour 2 895 980 dollars et on devrait conserver le même sujet ont indiqué qu’ils opéraient qui ça « ils » ???six aéronefs à voilure fixe et 4 à voilure tournante 4. Il y a 27 avions.

Je n’arrive pas à trouver 27 mais c’est sans doutecharb-n-est-pas-pret-de-s-arreter-la parce que je suis un raciste islamophobe

Sur ce total, 10 Cesna 206 à 207 modèles ont été donnés à l’armée pour le travail social, Quatre CRJ700, ont été prêtés par PDVSA à Conviasa. Le reste (7 Lear 45XR Jet, deux Falcon 900 EX, et deux Falcon 900 B) sont sous ???l’utilisation de la direction de PDVSA, et deux Beechcraft1900D (d’une capacité 19 personnes) sont utilisés pour l’exploration et de l’industrie de production (pétrolière). « Les deux Beechcraft 1900D, d’enregistrement YV2862 et YV2861 ne sont pas utilisés à cette fin. Dans les médias de l‘aviation privées ???? il est dit qu’ils sont utilisés pour les vols intérieurs des dirigeants PSUV et la gestion moyenne inférieure de PDVSA « , a déclaré Chaffardet en exil.

Toujours cette construction qui coupe le souffle

Le plus beau cas d’espèce : celui de Rafael Ramirez
Mais ils ont souvent été utilisés pour convenances personnelles, dans des proportions assez ahurissantes, à vrai dire.

Vous venez de lire du Morice
« Le dossier indique que le vol de Citgodu samedi 3 janvier 2000 en Falcon est parti vide de Houston, Texas (où se trouve la raffinerie de Citgo) et a atterri à Maiquetía. Le lendemain, le même avion a quitté le terminal à destination de Houston, au Texas, avec trois passagers : Rafael Ramirez, Beatrice Sanso de Ramirez et Ernesto Ramirez Sanso. Le 4 janvier, la famille Ramirez s’est envolée pour la ville d’Eagle, dans le Colorado, connue pour ses belles montagnes enneigées, et idéales pour la pratique des sports d’hiver. Le Falcon 2000 est revenu vide à sa base. Par la suite, le 10 Janvier un autre avion du même type laissé sans passagers de Houston pour aller à Eagle, où il a emporté la famille Ramirez et est retourné à Houston, seulement pour faire comme de coutume, leur destination finale était Maiquetía, où ils sont arrivés dans les heures avancées de la nuit. Le trajet complet dépassait les 10 000 miles au coût de 94 961 dollars.

C’était le roman VillachoMoricien « Les Ramirez montent en avion »

Les données révèlent également l’atterrissage de l’avion sur des aéroports dans des États endroits exotiques comme Honolulu, Sydney et Doha, entre autres. C’est le cas du vol affrété le 20 Avril 2009 par le président Alejandro Granado Citgo ???? et son épouse Rosana Delgado Granado,…

Chers petits amis citoyens.
Je viens de m’envoyer 8 pages de relecture citoyenne.
Car vous aurez remarqué sans doute que CITGO est à la fois l’intitulé d’une compagnie et le nom de famille de Alejandro Granado Cigto

…. de Fort Lauderdale en Floride, où ils ont eu une résidence dans la capitale du Texas, au siège du bureau de Granado. Quatre jours plus tard, le couple est monté à bord d’un autre F2000 et a couvert un parcours de 3 586 miles (5700 km) de la capitale du Texas vers Honolulu, Hawaii. Le 25 avril, le couple Granado est monté à bord de l’avion de l’Etat vénézuélien, cette fois pour se rendre à Sydney, en Australie, où ils sont restés pendant quatre jours. Le 29 avril, ils sont repartis pour la deuxième plus grande ville d’Australie, Melbourne, et sont restés jusqu’au 2 mai, où ils ont commencé le long voyage de retour à Fort Lauderdale avec les mêmes arrêts inclus. Le voyage de plus de 18 000 miles (29000 km !) couvert par un avion de Citgo,

Heu ?????Citgo la famille ou la compagnie ???

avec équipage et de carburant de la société, à eu un coût de 192 090 dollars. Le rapport du Département de l’aviation montre que la mère de Citgo Granado,

J’y crois pas
Dans la famille Citgo Granado je veux la mère

María Ravelo Granado, a a aussi utilisé des aéronefs d’État pour se rendre de Barquisimeto à Houston ou Fort Lauderdale. Entre janvier et août 2009, le président de Citgo s’est rendu 69 fois entre sa résidence de travail au Texas et sa maison de la famille en Floride. Un autre fait encore : Eulogio del Pino, vice-président de PDVSA, est également contenu dans le rapport sur Citgo. Le 23 mars 2009 un avion est parti d’Aruba avec Alessandra del Pino, à destination de Paris. Le 25 mars, Ruben Figuera les a rejoints et ensemble ils ont volé de Paris à Doha, capitale du Qatar. Le lendemain, ils se sont rendus à Bilbao, en Espagne, le 27 mars ils sont retournés à Maiquetía. L’itinéraire entier a coûté 131 750 dollars. PDVSA et Citgo ont coûté au pays 418 801 dollars en 2009 en frais d’avions. » Pour couper cours

Même avec les fautes , combien on aimerait qu’il coupe court

aux insinuations de la presse, Maduro se résigne le 3 septembre 2014 à se passer de Rafael Ramírez comme ministre. Poussé par sa gauche, disent certains, qui trouvaient Ramirez vraiment trop… capitaliste. Pressé par les scandales des dépenses somptuaires du ministre, pour d’autres, étalées dans la presse face aux difficultés de la populace.
Les liens entre les industriels texans, leurs avions, et le régime vénézuélien demeurent surprenants, comme on a pu le voir avec le cas du « poulet » de l’épisode précédent. Avec en philigrane le spectre de la DEA, toujours à l’affût de ce que ces fameux jets peuvent emporter. Une Dea bien plus proche qu’on ne le pensait jusqu’ici des trafiquants, sauf pour ceux qui me lisent depuis des années maintenant…
(*) un grand coup que ce contrat juteux de turbines décroché par Ovarb : « Comment appelez-vous une entreprise qui existait depuis moins de trois mois quand elle a obtenu un contrat 252 000 000 de dollars pour vendre à PDVSA et sa filiale (Bariven) un équipement qui d’habitude se vend pour 112 000 000 de dollars ? Une entreprise dont le seul représentant légal donne son adresse comme étant 4023 Ouest Davis Street, Conroe, Texas, qui est l’adresse d’un lavage de voiture ? » note un bloggeur ayant relevé quelques incongruités dans la signature de contrat… »Une entreprise dont le PDG de Google n’a aucune trace du tout, au-delà d’une page Facebook ? Une entreprise avec une seule vidéo promotionnelle farcie de stocks d’images avec un grand total de 27 vues ce matin encore « …. ??? « Je ne sais pas ce que vous en dites, mais c’est ce que je appelle une Ovarbaridad ! »

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Asinus
Membre
Asinus
13 avril 2015 16 h 36 min

yep ce site possede en son sein le nouveau Champollion ou alors Ranta à trouvé la pierre de Rosette derrière son dernier kubi de fanta ! lire et décoder du morice dans le texte vous êtes GRAND! monsieur Furtif

snoopy86
Membre
snoopy86
13 avril 2015 16 h 48 min

Lire et décortiquer un article du Momo !

Il faut avoir une jambe dans le plâtre ou de sérieuses insomnies :mrgreen:

ranta
ranta
13 avril 2015 20 h 03 min
Reply to  snoopy86

Tout dépend du temps que tu as Snoop.

😉

ranta
ranta
13 avril 2015 20 h 05 min
Reply to  ranta

Pour être plus précis du temps que tu as devant toi.

Tiens ça fait penser :

Vous savez qu’il y a zéro nartic de morice en modération ?

ranta
ranta
13 avril 2015 20 h 01 min
Reply to  D. Furtif

Gaffe Furtif, comme le morice veut au maximum éviter de passer pour un con (rude tâche) il va suivre tes conseil.

Je te fiche mon billet qu’on aura un sous-marin qui descend à 400 mètres d’altitude sous l’eau 😆

Asinus
Membre
Asinus
13 avril 2015 19 h 31 min

c’est la consécration !!! monsieur Furtif que dis je la gloire!!! votre presque collègue presque professeur presque journaliste presque citoyen vous cite et met le lien un réflexe pavlovien de son habituel copié collé !
perso je penche pour du gâtisme à un stade avancé !

Léon
Léon
13 avril 2015 21 h 25 min

Lire un article de Morice ? Y en a qui ont vraiment du temps à perdre…

Lapa
Administrateur
Lapa
13 avril 2015 22 h 04 min

délicieux et divertissant!

Cosette
Cosette
13 avril 2015 22 h 59 min

Quelquefois, lorsque je passais voir un des nartiks de momo, je demandais si quéquin pouvait me faire un résumé. Non parce que j’avais déjà repéré comme pas mal de monde, que le momo il se faisait pas trop iech à bien se relire, surtout les morceaux mal traduits. Je me demande ce que sont devenus ses élèves de Tourcoing.

Ah! ça va lui faire plaisir! j’en ai retrouvé un, à Roubaix.
:mrgreen:
« Je m’appelais Kevin, je suis devenu Farid »

Léon
Léon
14 avril 2015 10 h 55 min

Ceci dit, personne n’a encore trouvé d’où il pompait tous ses « articles » ….

Lapa
Administrateur
Lapa
14 avril 2015 14 h 48 min
Reply to  Léon

de revues papier passées à l’OCR je pense, pour une partie de sa production.

Léon
Léon
14 avril 2015 11 h 00 min

Quand même, Carlo Revelli devrait décerner une médaille à Furtif. Un travail citoyen de cette envergure, c’est pas souvent qu’on en voit… !

Castor
Membre
Castor
14 avril 2015 11 h 06 min

Furtif, si tu as des problèmes, on peut en parler.
Mais ne pense pas les régler en lisant du Morice.

Fabien
Fabien
14 avril 2015 13 h 37 min

Bonjour à tous.
Alors là je dis à Fufu: respect!
Tu as réussi à déchiffrer son charabia et cela me stupéfait.
Bravo!!! 😆

Fabien
Fabien
14 avril 2015 16 h 27 min

j’aurais peut être du m’envoyer un ou deux « rails » histoire de comprendre ses articles.
Ou boire un gros gorgeon. Moi avec deux grammes dans chaque poche je parle polonais, alors dans le même état je devrais pouvoir percevoir la vérité vrai des « narticles momotéiques ». hipS! 😆

ranta
ranta
14 avril 2015 17 h 21 min

Hier soir à une question fort intéressante, alors que tous tournaient la tête, le seul qui a fait semblant l’a fait en répondant à côté. 😆

Cosette
Cosette
14 avril 2015 19 h 03 min

Un peu décevant cet article. Pas un seul navion à l’horizon pffff!